Drôle de mot….
Février 2015 Drôle de mot …. Est-ce un vrai mot et un vrai métier «tendanceur» (chasseur de tendances) j’imagine que oui puisqu’il paraît qu’ils sont devenus les prophètes de ce siècle.Toujours est-il que nous venons de lire dans le mag Gault et Millau de l’hiver un article sur ce qui sera tendance en cuisine en
Accroc et en manque déjà…
Accroc et en manque déjà… Notre saison des marchés se termine les 11 et 12 octobre et déjà au 9 octobre je n’en peux plus de penser que je n’aurai plus cette offre de produits exceptionnels et variés concentrés en un lieu . Comme tout le monde j’ai commencé à engranger en planifiant serré pour
LE GOÛT EST UNE AFFAIRE DE PRODUITS, AVANT D’ÊTRE UNE HISTOIRE DE CHEF
Récemment, en couverture du Time magazine, édition européenne, on pouvait voir la photo des trois grands chefs Chang, Redzepi et Atala avec la mention: meet the people who influence what (and how) you eat. C’est sans doute vrai, si vous conduisez une Rolls et roulez sur l’or. Sinon, je dirais plutôt que celles et ceux
Vous me faites.. marchés?
Se faire plaisir en écrivant un blogue? Je n’imaginais pas que ce serait le cas. Pour moi, se faire plaisir veut dire « saisir un moment pour prendre du recul sur la vie…et ses merdes ordinaires » D’où ce: Bilan en forme de plaisir interdit Les marchés vont bien. Compte tenu de la température et
Immortalité
Ce samedi 27 juillet, le marché d’été baignait dans une lumière voluptueuse pour ventricoles avertis. Un flot continu de visiteurs emportés par le plaisir de marcher parmi les étalages orgiaques des maraichers, des herboristes et des faiseurs de délices salés ou sucrés, donnait à l’évidence une réponse aux sceptiques et aux hésitants: nettement, le marché
M….. Français !
Quand je lis les journaux ou magazines sur ce qui se passe en France, quand je parle à mes amis là-bas de Paris à Toulouse en passant par Nice, je me rends compte que leur moral est au plus bas et ce depuis un bon bout. Les républicains ne la trouvent pas drôle du tout
TO BE, OR TO BE NOT…
Le premier marché de la longue saison d’été à Val-David. Ca y est, c’est commencé. À chaque année je me tâte : est-ce que j’aime encore ça ? C’est tellement de travail, beaucoup de soucis, de la pression, des responsabilités, des problèmes à résoudre, des embûches à surmonter…10 fois par jour ! Est-ce que j’aime
Pourris-gâtés que nous sommes !
Samedi le 11 mai. Le dernier marché «intérieur» de Val-David, avant l’installation dehors. Celui de la Fête des Mères avec de la pluie, du temps frais et malheureusement, pas assez de monde. Où étiez-vous les fans des producteurs ? Certainement pas au hockey ? C’est un drôle de phénomène, les Marchés Publics. On a beau faire
Face de Beu
Je reçois ces temps-çi beaucoup d’invitations au végétarisme et au «végétaliennisme». Parfait. Pas de problème. Mais pourquoi chacun se sent-il obligé en même temps de dénoncer, dénigrer «violemment» la viande, surtout le bœuf puis, ensuite, l’abattoir lui-même ? Oh ! le beau petit cochon rose, il est si mignon !!! Pardon, il était si mignon.
Du bonheur et de la fidélité….
Notre grosse saison des Marchés arrive à grands pas. Cet hiver en fut un de planification, d’organisation, de recrutement. Un travail incessant et drôlement intéressant. Beaucoup de gens pensent qu’organiser des MP ça se fait en un coup de baguette magique. Pourtant, je ne me souviens pas d’une journée depuis 12 ans où je n’ai pas